Enfin ils l’ont fait, devant une bien belle équipe de France!

IL y a plus d'un an, je ne risque pas de l'oublier, Béatrice me tendait une enveloppe pour mon anniversaire dans laquelle elle me signifiait son envie de voir mon rêve se réaliser.
Cette journée d'aujourd'hui a été mémorable. La seule chose que j'ai pas pu faire, c'est de faire le grand saut (à voir plus tard en photos et vidéos).
Sinon, tout était parfait, et j'ai vu un match en tout point mémorable. Les blacks ont gagné c'était l'essentiel, mais devant une bien belle équipe de France.
Ici ils en avaient tellement besoin…. Ce pays ne vit que pour le rugby, et ses moyens financiers sont limités.
Plus jamais une coupe du monde ne sera organisée ici, j'ai vécu la dernière, elle fut bien belle…
Enfin, je vais vivre une deuxième semaine de vacances beaucoup plus sereine et joyeuse.
Auckland, 23h45

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Dans 30 minutes, ça y est!

Et voilà, dans 30 minutes je vais me retrouver dans Auckland à regarder le match que j'imaginais pas.
Le voyage se passe très bien, tout est très beau.
RMC infos via internet pour cet avant match…
De nombreuses images à venir. Les bleus sont sortis de leur hôtel particulièrement concentrés.
La Nouvelle Zélande est prête pour exploser de joie, ou sombrer dans une profonde dépression.
Voilà la boucle est bouclée, encore une bonne semaine dans ce merveilleux pays.

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Ben ça se précise, comme on dirait…

Le plus difficile fut de trouver le match et les deux places qui correspondraient pile à la somme récoltée grâce à vous pour mon anniversaire….

La réflexion fut difficile, et cela a pris exactement 10 mois.
La liste des matchs et des tarifs était très, très variée comme vous pouvez le constater ici: cliquez ici

Et donc comme on est pas très bon en calcul et en conversion, il nous a fallu attendre cette nuit du 4 au 5, 23h à Paris, 9h du mat à Aukland le 5 pour enfin nous décider sur les deux billets qui convenaient à votre cadeau.
Ce sera donc deux places en catégorie A (on se refuse rien) pour la petite finale : L'emplacement au stade    la transaction pour le billet  (100dollarsNZ = 57€)

Pour la finale, si tout se passe bien pour les Blacks, ce sera au rang 256, sur la place du port en face des écrans géants, à l'endroit de la flèche verte  voir le plan

Le plan de voyage  il nous reste quelques hébergements à trouver via le réseau d'auberge de jeunesse "de luxe"

Bon, bien évidemment, tout ne s'est pas passé exactement pour les raisons décrites, mais au final on s'en tire bien, puisqu'on voulait plutôt privilégier le match pour la 3ème place.

Merci à tous

L'eden park, le site

dernier match vu sur canal+ depuis ce stade

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Les vieux du stade! Tout à l’heure, je passe la barre…

Et oui, Jean François, tu aurais pu me gratifier aussi d’une belle photo montage dont tu as le secret.
Grillé!  Par Alain L. , me supportant (et inversement) depuis presque 20ans au travail.
Entre ceux qui sont partis à la fête de la fraternité, celui qui aurait pu écouter U2, et Alain qui ne manque jamais le samedi du décastar, vous me faites trop d’honneur…
Merci donc pour cette image « rapide ». C’est l’intention qui compte, et ma foi je pense que tu as voulu faire ressortir mon côté féminin:-)

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Combien de fois peut-on voir un film?

Certains m’ont répondu qu’ils ne viendraient pas au film car ils l’avaient déjà vu. Bien entendu cet argument est recevable, tout comme on peut refuser de faire ou recevoir  un cadeau ou de faire  ou se faire plaisir.
Je voudrais juste rappeler des propos de François Truffaut qui adorait les VHS (aurait aimé encore plus les DVD) qui lui apportaient le bonheur simple de visionner à tout moment Sérénade à trois de Lubitsch, alors qu’avant la vidéo, il était parfois obligé d’attendre un an ou deux pour  revoir le film au cinéma. Tous les habitués de la collection « Les films de ma vie » connaissent ça par coeur, on l’entend au début de chaque cassette. Nous l’avions d’ailleurs détourné avec ma collègue, pour présenter une action que nous proposions dans les écoles rurales. Tendez l’oreille et écouter Claude Berri en train de reprendre les propos de Truffaut, grand cinéaste et cinéphile devant l’éternel. Alors deux fois, pensez donc, c’est bien peu….
Songez à votre enfance, quand vous aimiez regarder à de nombreuses reprises le livre ou le dessin animé favori…Il faut retrouver son âme d’enfant et se libérer de ces « préceptes » qu’on se dicte à soi même. Cliquer sur la flèche pour démarrer la lecture et écoutez, c’est du pur bonheur. Un hymne au cinéma et au mariage entre le cinéma et la vidéo ; ça reste d’actualité. C’est pour cette raison que je tenais tant à m’offrir ce moment avec vous dans mon cinéma de proximité. Parce que re(re)garder un film ensemble, ou avec des inconnus dans une salle conçue pour cela, ça reste magique.

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Invictus samedi 18h45!

Rendez vous pour le film ou immédiatement après (21h10).
Ci joint les photos que j’ai prises juste avant d’y coller ma banderole
« Christophe fête ses 50 ans »
J’espère que personne ne viendra les enlever (humour léognanais!)

Cliquer dessus pour voir en grand

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Est ce que je les fais?

Fisso, je te rassure moi aussi j’ai perdu un écrit que j’avais fait au moment de mon passage du cap le 2 septembre.
Comme je ne le retrouve plus, je le réécris sous une forme et dans un autre élan.
C’est en fait le commentaire de Jean Luc  qui m’a rappelé ce commentaire que je croyais avoir publié…
J’expliquais donc que le 2 septembre, à 0h30, scotché devant mon ordinateur, j’avais eu la surprise de voir mes deux filles entrer discrètement dans mon « repère »… Sans se concerter elles avaient eu la même idée. Etre les premières à me souhaiter mes 50 ans…
En me disant toutes les deux, de concert, « tu sais papa, tu les fais pas du tout tes cinquantes ans. »
J’ai repensé alors à toutes ces situations, à l’adolescence surtout, où j’aurais aimé faire plus vieux que mon âge alors qu’on n’arrêtait pas de me dire que je faisais bien plus jeune que mon âge, essentiellement pour des questions de gabarit et de taille.
Je me souviens très bien que lors de ces années « difficiles », où en plus, je ne fréquentais que des garçons bien bâtis et très sportifs comme Jean Luc 🙂 qui était presque le modèle le moins « imposant » ; je me disais, pour me consoler, « j’espère au moins un jour que quand je serai vieux, on dira toujours que je fais plus jeune que mon âge ».
Ah ce commentaire de Jean Luc, tout en ironie mordante, mais tellement agréable à lire, amusant, émouvant dans sa manière de décrire ce qui semble me caractériser depuis longtemps, et de me témoigner sa « fidélité ».
Il m’a rappelé un moment de notre vie qu’on n’avait pas eu l’occasion de (ré) évoquer ensemble lorsqu’on se racontait nos souvenirs de nos « virées en Allemagne ». Et qui vient battre en brèche l’image et les souvenirs que je me suis construits.
Suis-je passé à côté d’une grande carrière de « Séducteur des cours de lycée » par manque de confiance en soi?
Certains cet après midi (merci pour ce WE délicieux au bord du bassin) ont tenté de me le faire croire.
Toutefois la lecture de ces données (cliquez ici)  ou même de ça (cliquez là)  montre que, quand même, j’avais un certain handicap pour courir après les filles, en tout cas avant l’avant de 22 mois c’est sûr 🙂

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Modalités pratiques

Donc comme je l’ai dit dans le courriel que je vous ai envoyé le vendredi 10, vous pouvez si vous le désirez, en cliquant sur commentaire, dire ce que vous avez l’intention de porter (laissez votre nom).

Je rajoute au fur et à mesure
Jean Luc: du vin
Nathalie et Dieudonné: du vin
Claire et Pascal: des cannelés
Marie Anne: dessert
Marielle: jus de fruits
Marie Alice et Gilles: fromage
Bertrand et Fisso: tarte au citron
Marilou et Thierry: gâteaux
Fabrice, Véronique, etc…: Fromage
Famille Prade: fromage
Alain et Atie: vin
Wahbi et Claire: dessert
Famille Mouclier: dessert
Alain L. :Vin de buisson (apéro) + vin

Je pense que pour le vin il n’en faut pas trop car on a récupéré deux cubis de 3l  rosé et un de 3l de côtes du rhône.
Par contre du fromage et des desserts peut être plus…Ou rien…

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On ne voit bien qu’avec le cœur….

« On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »

Que j’ai aimé ce chapitre….

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Ben voilà ça y est, je les ai!

Je suis encore là. Je pensais qu’il se passait quelque chose de spécial au moment du passage de la cinquantaine…Punaise si c’est comme le bug de l’an 2000, ça va être terrible!
On a flippé comme des malades, on s’est préparés comme des bêtes, sauf que les 26, 27, 28 décembre, la nature a repris ses droits et on s’est pris une tempête sur le coin du carafon!
L’euro lui est passé sans problèmes, sauf pour notre porte monnaie….
A +

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Mon clash avec Ségolène!

Vous êtes nombreux à savoir que je me suis engagé très fortement pour soutenir la candidature de Ségolène Royal en 2007.
Je ne regrette rien, car elle portait des idées et des méthodes neuves, et surtout elle avait (et a toujours) une capacité à toucher le coeur des gens, ce que bien des élus socialistes  sont incapables sans que ça sente la « fausseté ».
Pourtant désormais, j’ai pris un peu de recul et pas pour ce que vous croyez.
Si vous voulez vraiment savoir pourquoi, si vous n’avez pas peur de connaître la vérité de cette « fâcherie » entre moi et Ségolène, alors il vous reste à cliquer sur ce lien . Vous comprendrez alors que je ne pouvais supporter cette décision de sa part et que j’ai dû aller au « clash »!

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Bienvenue sur mon blog d’anniversaire

Voilà, ceux qui me connaissent dans ma vie récente, savent que je n’allais pas pouvoir me passer d’en faire un.
Pour mes cinquantes ans, j’avais envie de me mettre en scène plutôt qu’on le fasse à ma place par surprise, et peut être s’il m’en prend l’envie vous livrer des anecdotes, des réflexions, etc…
Vous pouvez laisser à votre tour une trace en cliquant sur « commentaire » dans n’importe lequel des articles présents ou à venir. Seule contrainte pour vous, ne dire que des choses agréables, gentilles et sincères. Dans 30 ans je prévois un blog où vous pourrez enfin vous libérer de ce que vous avez de moins gentil à me dire…
Les articles sont classés par ordre d’écriture. Si vous découvrez le site, commencez à parcourir les articles de bas en haut, puisqu’il y a une logique. Le premier article publié et donc à lire en premier s’intitule « Bientôt cinquante ans… » Cliquez dessus, vous y arriverez de suite .

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Le rugby émoi!

Et oui, ceux qui me fréquentent un peu ou beaucoup, connaissent mon attirance, compulsive, boulimique pour le rugby.
Elle date de longtemps, et j’ai forcément envie de vous en parler un peu, beaucoup…
Je n’ai pas eu le choix, je suis né à Agen, même si je n’ai pas vraiment fréquenté cette ville hormis, mes premiers noëls, mais mon frère aîné lui aussi né à Agen, m’a « transfusé » tout petit ce soutien indéfectible à cette équipe de rugby d’Agen.
Dans le jardin nous jouions au rugby à deux, et les ballons partaient fréquemment chez le voisin, qui fâché avec mon père, ne nous les rendait pas. Ma mère, institutrice oblige, nous avait commandé sur le catalogue Camif un lot de ballons de rugby spécial « collectivité », pour qu’on ait toujours un ballon à disposition pour exercer notre jeu rugby à 2. Oui je sais, il n’existe que le rugby à 15, 13, 7 mais nous, nous pratiquions le rugby à 2. Pour la petite histoire, de nombreuses années plus tard, le fils du voisin venu vider la maison de son père décédé, nous appela, et à notre grande surprise, nous avons retrouvé tous nos ballons au fond de son garage…
Donc nous suivions dans les années 60, 70 l’épopée de l’équipe d’Agen, alors même que nous habitions au Pays Basque. Au moment des phases finales, nos parents nous amenaient parfois voir notre équipe favorite ; j’ai souvenir de déplacements pour des huitièmes ou quarts dans les villes de Pau, Tarbes et peut être aussi Dax et Auch.
Dès la sixième, j’ai commencé à fréquenter et « copiner » avec des élèves landais pratiquant le rugby. Le rugby soustonnais, dacquois puis tyrossais, avait élargi mon univers rugbystique. Certains pratiquaient le rugby à un haut niveau (équipe de France junior). L’un d’entre eux après avoir été le « Codorniou » du lycée, est encore aujourd’hui entraîneur (top 14, retour en pro D2 à Dax)
Mais Agen restait mon équipe préférée et de loin, malgré mes copains qui commençaient déjà à jouer dans les équipes première citées plus haut.
Et puis j’ai commencé dans la fin des années 70 à aller supporter l’équipe de l’Aviron Bayonnais avec mon copain Jean Luc. Nous avons vécu les matchs à Jean Dauger, les cars de supporteurs, et tout ce qui va avec….
Les années 1981-1982 furent des années « fortes ».
10 Mai 1981 je ne vous rappelle pas la joie, même si je n’avais pas voté pour lui au premier tour. Septembre 1981, je réussis enfin le concours de l’école normale.
29 Mai 1982, grâce à un instituteur particulièrement « sympathique », je prends l’avion pour aller assister à l’évènement le plus « crève coeur » de mon histoire rugbystique.
Pourquoi l’instituteur sympathique? Depuis le début de ce mois de mai de 82 je suis en stage en responsabilité comme on dit, dans la classe de cet instituteur qui lui est en stage. Chaque samedi matin, cet instit, revient « traîner » dans l’école.
J’ai décidé d’aller pour la première fois de ma vie assister à la finale …. Agen-Bayonne. Je demande à la directrice, si elle pense que je peux demander à l’instit, de reprendre sa classe le samedi matin pour me permettre de prendre le train le matin pour me rendre à Paris. Elle m’encourage à le faire…. Il refusera, il viendra ce samedi matin là comme les autres samedis, je me rendis compte qu’il y avait la même proportion de con chez les instits qu’ailleurs. Je pris l’avion en tout début d’après midi pour pourvoir me rendre à temps au parc des princes car  la finale avait lieu dans le milieu de l’après midi à cette époque là.
Donc cette finale eut un goût amer pour moi, puisque mes deux équipes préférées se confrontaient, et que, ayant malgré tout choisi de supporter l’aviron, je ne pus donc pas apprécier la victoire d’Agen.
Notez, grâce à la vidéo (cf vidéos/rugby) que c’était la première fois depuis plus de vingt ans qu’un président de la république se rendait à la finale. L’essai était encore à 4 points. Et le commentaire du résumé par Roger Couderc, vaut le coup. Il prendra sa retraite l’année suivante, et mourra très vite après (1984).
En 1984, devant ma télé, je soutenais Agen face à Béziers. ce fut le dernier titre de Béziers et la seule finale qui s’est terminée aux tirs aux buts (voir extraits dans vidéos/rugby)

En 1987 ce fut la première coupe du monde qui a mon sens a modifié quelque peu l’esprit du rugby, puisque cette coupe du monde devient l’objectif suprème et occulte toute la symbolique des tests match. Copier ce qui existait dans le foot, vouloir mondialiser le rugby, alors que je reste persuadé qu’il y a le rugby du nord et le rugby du sud et qu’il est vain de vouloir les comparer et les faire se confronter aussi souvent. Le tournoi et le tri nations, restent les compétitions les plus intéressantes. Et la coupe du monde ne permet au mieux qu’aux petites équipes de mieux exister (quand il n’y a pas d’affiches trop déséquilibrées qui font craindre un accident du type « Max Britto« ) et d’être mieux considérées .
2010 aura été l’année de mon premier match de rugby en 3d au cinéma et de la victoire, enfin!, de Clermont pour sa onzième finale.

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Je vous dévoile enfin le programme!

Robin Williams, Matt Damon et Ben Affleck, tous les trois, ce ne sera hélas pas possible.
Par contre, Matt sera là avec Clint, et Morgan…
Voilà une de mes idées, vous offrir une séance de cinéma dans mon cinéma préféré, autour d’un film que j’affectionne particulièrement et ce avec la complicité de la directrice de l’Espace Culturel de Léognan.
Je voulais vous faire voir ou revoir Will Hunting un film que j’aime vraiment beaucoup pour plein de raisons. L’une d’elles est par exemple qu’il s’agit d’une histoire d’amitié  devant et derrière l’écran. Deux des acteurs principaux, ont écrit ensemble le scénario et jouent les deux amis dans le film.
Mais ce film ne peut plus être obtenu en copie cinéma.
Il me fallait donc trouver un film plus récent, mais qui représente quelque chose de fort pour moi.
Invictus  est apparu comme une évidence. Je retrouvais l’acteur principal de mon film, un réalisateur d’exception, et enfin une histoire qui parle à la fois de rugby, de politique « autrement »… Où le pardon, devient une arme redoutable pour faire changer les mentalités.
Donc je vous offrirai des places pour (re)voir ce film lors de sa projection en séance publique le samedi 18 septembre vers 18h, 18h30. Parler ensemble, manger ensemble, chanter ensemble, danser ensemble… Je rajoute donc le « regarder un film ensemble », ressentir en même temps des émotions liées à l’histoire, ou à la construction cinématographique d’un film.
Ensuite je vous proposerai le « manger et boire ensemble » aux accents espagnols, à la cafétéria de l’espace, grâce à l’aide de mes amis de l’association Léognan Péralta. Je vous mettrai à contribution pour le vin, le fromage et le dessert…A définir plus en détails.
Et ce sera enfin une soirée autour du jeu qui vous attendra. Jouer, regarder les autres jouer, faire ces expériences qui nous permettent de vivre la rencontre des autres autrement, avec des jeux prioritairement  conviviaux, amusants et pas trop compliqués.
Et pour m’aider dans cette entreprise,  je m’adjoindrai les services d’une toute jeune association léognanaise: VENI VIDI LUDI 
Je remercie David et ses camarades maîtres es jeux, d’expérimenter pour nous cette forme d’animation.
L’objectif donc de ces moments sera de nous faire vivre des émotions ensemble.
Mon plus beau cadeau sera donc que vous preniez du plaisir à vous « mettre dans mes pas », puisque ça reste « mon » anniversaire.

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Et l’écriture?

Peut être quand même qu’il faudrait que je rajoute à mes centres d’intérêt, l’écriture?
Entre ceux qui ont pu m’inciter à écrire, d’autres qui m’ont souvent corrigé, d’autres qui me lisent en apnée, d’autres qui ont été déstabilisés par une écriture trop « engagée » (émotion, franchise, colère) (:-) , d’autres qui n’en pensent pas moins, je reste semble-t-il toujours accroché à ce mode d’expression.
Si j’essaie de me souvenir, je me souviens très précisément de ce roman de Jules Vernes « Cinq semaines en ballon », étudié en 6 ou 5ème. Je m’étais mis en tête d’écrire moi aussi une histoire d’aventure à la minière de Jules Vernes, avec des chapitres, et tout et tout, en cachette. Essai fictionnel, sans lendemain. Il y avait bien eu l’écriture de poèmes en CM2 avec cet instituteur que j’adorais car il mettait en valeur et encourageait le travail d’écriture de chaque élève, ce qui fait que nous étions très nombreux à nous essayer à cet exercice et à le partager aux autres.
Ensuite, l’exercice de l’écriture, s’est résumé à une double fonction: pour l’école puis pour le travail d’une part  et d’autre part pour exprimer un point de vue ou des sentiments à une autre personne. (voire d’autres, depuis l’avènement du courriel et de sa fonction envoyer à plusieurs)
Quand je vois ma fille cadette engager sur toute une année une relation épistolaire très dense avec une amie, via le stylo, le papier, l’enveloppe et la boîte aux lettres jaune, à l’heure d’MSN et de Facebok qu’elle pratique assidument, je me dis qu’il y a des choses qui se transmettent (se perpétuent?) étonnamment au fil des générations.
Je parle bien du goût d’écrire, pas du talent d’écriture. Le premier me sert surtout à exprimer des choses que j’ai bien du mal à énoncer de manière calme et posée. Pourtant je n’étais pas « mauvais » à l’oral comme on disait dans les études….
Ecrire, ce n’est pas pas parler. Pour moi, prendre le risque de la « permanence » de la trace écrite, c’est à la fois une forme d’inconscience, d’impertinence, et aussi d’engagement.
Lire, ce n’est pas écouter. J’ai en tête un exemple particulièrement frappant. Michelle Delaunay  a un timbre de voix, voire parfois une manière de s’exprimer que je peux trouver « désagréables » à mes oreilles.
Mais quand je prends, de manière très irrégulière, le temps de parcourir son blog,
http://www.michele-delaunay.net, je suis complètement charmé, admirateur, par la forme, le style, le contenu, l’engagement, la diversité des propos et des sujets (rare pour un blog somme toute politique au départ), les liens faits  à sa vie personnelle ou professionnelle. C’est vous l’avez compris, la forme d’écriture dont je me sens le plus proche. Le talent, la concision et le style attendront:-)
Il m’est même parfois arrivé de me mettre à commenter sur ce blog, à tel point qu’une fois elle a « déporté » mon commentaire dans sa rubrique « L’invité du blog ». Si vous êtes adepte de la pratique de l’apnée, vous le retrouverez sans problème, c’est le plus long 🙂 et je n’y choisis pas un pseudo qui me rappelle un de mes films favoris mais mon prénom.
A propos de pseudo et d’apnée, je ne peux pas m’empêcher de raconter d’où vient ce terme d’apnée. un homme politique local qui avait eu le malheur de recevoir un « écrit » de ma part (deux pages pas plus 🙂 ), avait pris l’habitude de me gratifier devant d’autres, un amical « Bedou quand on reçoit un courrier de sa part, il faut se mettre en apnée »…. Quelques années plus tard, je lui faisait remarquer que j’avais lu avec attention les 66 pages de son (et son équipe) bilan « dix ans ensemble » qu’il avait envoyé en 3000 exemplaires, sans aucunement me mettre en apnée, il m’avait répondu avec un sourire en coin « Ah bon tu l’as lu? Mais tu es bien le seul! ». J’ai compris alors que certains écrivaient ou plutôt faisaient écrire pour surtout ne pas être lus, mais pour trôner comme un objet qu’on glisse dans une bibliothèque. J’ai effectivement, pour ma part, archivé cet ouvrage d’excellente facture (je parle du produit manufacturé (cartonné, papier glacé, collé, couturé)
J’ai aussi compris qu’il n’y avait pas que les chats qui retombaient toujours sur leurs pattes:-) La sortie de cet ouvrage avait semble-t-il provoqué des réactions mitigées voire hostiles…
Ensuite, j’ai pris donc la peine de me « cacher » sous un pseudo quand j’ai cherché à animer sur le net, une campagne locale bien ennuyeuse…
En effet, avoir le goût de la vérité, en politique, même à tout petit niveau, ça peut engendrer quelques « contrariétés »….
Donc ça peut paraître idiot comme constatation, mais je n’imaginais pas qu’on pouvait ressentir (et l’exprimer) du plaisir à écrire. Et manifestement, je devais le ressentir depuis longtemps.
Comme je profite de ces « exercices » pour faire un retour sur mon passé personnel, avant de clôturer cet article, je suis allé fouiller dans mon dossier scolaire. Les appréciations en français, et en philo étaient assez élogieuses, je ne m’en souvenais pas. Or une des choses dont je suis maintenant sûr, c’est que lorsqu’on fait (apprend) avec plaisir quelque chose, la « réussite » a plus de chances d’être au rendez-vous.

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Peyo et Jean Luc: éveilleurs de conscience(s)?

Peyo, c’est Peyo Bordagaray, un des deux aumôniers du lycée à l’époque. Moi je faisais partie des trois « séminaristes » (cf vidéo sur le baptême de Charlotte). Le souvenir que j’ai de cette époque, est que les groupes de parole constitués abordaient des thèmes dont on entendait parler nulle part ailleurs (l’engagement, l’amitié, l’amour, la sexualité, la fidélité, le pardon, etc..). Son « compère » a un peu « dévié » par la suite puisqu’il s’est marié et a eu des enfants. Je me souviens d’ailleurs que pour les 50 ans de Peyo, il avait « allumé » un débat sur le célibat des prêtres imposé par l’église.
Jean Luc, c’était le copain de l’époque, qui m’a « initié » à la politique et m’enjoignait de ne pas fréquenter l’aumônerie, car il était persuadé que sous des aspects très post 68, « ils » cherchaient un moyen de nous « embrigader »…
J’ai eu donc dans ces années lycée de quoi m’interroger…. j’ai même vendu « Avant garde » dans le lycée sans trop savoir que c’était interdit.
Ce dont je me souviens bien, c’est que Peyo était un farouche défenseur du projet de loi d’Alain Savary sur la mise en place d’un service public d’éducation unifié et Laïc.
Ma très grande gêne sur le pouvoir des manifestations de la rue, vient de cette époque précise. Je n’oublie pas que Mitterrand a enterré le projet parce que trop de  gens étaient dans la rue. Ce fut ensuite l’arrivée de Fabius qui a coincidé avec un coup de barre « à droite » ou du moins un certain abandon de certains idéaux.
Heureusement qu’il n’y a pas eu un mouvement orchestré pour refuser dans la rue, l’abolition de la peine de mort!
 Pourtant je suis bien content d’avoir participé à faire reculer Villepin sur le projet de CPE.
Mais la différence était de taille, le projet de Savary faisait partie des 110 propositions de Mitterrand pour la France ; revenir dessus, à cause de la rue, c’était plus qu’une reculade. Par contre le CPE, n’était pas dans le programme de Chirac.
Mais surtout, là déjà, même si je n’en avais pas encore conscience, nous avions une de ces manoeuvres « tordues » ou deux camps  « opposés » peuvent devenir des alliés de circonstance (beaucoup à gauche combattaient ce projet). Bien des années plus tard, cela s’est reproduit avec le Traité européen ou dans chaque camp (du oui et du non) il y avait des « lectures » contradictoires, et des alliances de circonstance, encore et toujours.

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50 photos pour fêter ça…

J’ai donc fait une recherche approfondie, et fait un choix arbitraire pour proposer une sélection de 50 photos sous forme de diaporama. En fait il y en a juste un peu plus, mais il y a exactement 50 photos avec moi dessus. Il s’agit donc bien d’un choix avec une contrainte très restrictive, mais qui puisse pour moi en me voyant, balayer en totalité les divers évènements de ma vie. Sur la sélection de vidéos (à venir), il y aura quand même d’autres têtes.
J’ai parfois légendé certaines photos.
On accède au diaporama par le menu du haut (photo/diaporama) ou bien directement
ici
Pas d’inquiétude, je n’ai pas prévu de faire 50 articles!

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Et si on parlait cadeau?

Ah le cadeau! le cadeau! le cadeau!
Beaucoup savent combien j’ai des idées un peu particulières sur le sens qu’on donne aux cadeaux, mais combien j’aime dans l’absolu recevoir des cadeaux…. Bref je suis dans le paradoxe. J’aime les bonnes surprises, et pour éviter les mauvaises je préfère maîtriser quitte à me payer une moto pour mes 40ans !
Je pourrais vous demander une combinaison  d’hiver pour aller faire du Morey à Lacanau…. J’ai déjà la planche, vous voyez certains d’entre vous ce que je veux dire ? :-))
Ah le thème du cadeau sur wikipédia, ça laisse sans voix tellement c’est pauvre….
Pour anniversaire c’est déjà mieux, mais je recommande celui là aux plus matheux d’entre vous: http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_anniversaires
Par contre l’article sur le don  me semble bien plus intéressant.
Quand j’y lis cette définition « Le don est l’action de donner sans contrepartie, du moins apparente. », j’y apprécie l’expression « du moins apparente ».
Par contre je ne pensais pas trouver dans l’homélie d’un prêtre, réponse à une question que je me pose souvent. Pourquoi porter quelque chose quand on est invité à dîner? Lisez cette réflexion qui n’est pas loin de celle que je formule différemment et qui dérange tant quand je me sens la liberté de l’exprimer.
Le plus « extraordinaire » dans ma vie de papa, a été de voir la « dérive » des anniversaires d’enfants prétexte à « qui a acheté, porté le plus beau cadeau ».
Alors oui, moi aussi j’ai pensé à un cadeau un peu « original » un truc que je me paierais pas en temps ordinaire. J’ai pensé, mon goût pour le people trash oblige, à Zahia:-))  Béatrice n’a pas trouvé cette idée de très bon goût. Et mon copain Jean Luc, qui a le sens de la formule m’a répondu « Je  pense que ZAHIA est un bon choix  car comme cela Béatrice pourra dire « mon homme , il est aussi intelligent et a  les mêmes goûts que RIBERY. Elle sera trés fière de toi et verra ainsi que tu deviens moins torturé. »
Plus sérieusement j’ai pensé à quelque chose de très développement durable (pas d’avion ou de voyage) et très luxe: un petit séjour (une heure, 6 jours selon votre générosité:-)) aux sources de Caudalie , je pense qu’il doit pas y avoir beaucoup d’hommes qui tentent l’expérience….
Bien sûr mon rêve, c’était un congé sans solde pour suivre la coupe du monde en Nouvelle Zélande des matchs de poule à la finale.
En attendant, plus raisonnable, très économique pour le portefeuille, mais bien plus engageant, vous avez la possibilité de me faire un beau cadeau en parcourant avec assiduité mes divers écrits de ce blog, en apportant vos commentaires.
Car si je prends tout ce temps à vous faire ce cadeau,  c’est pour que vous vous rendiez vraiment compte de ma « folie furieuse », qu’elle vous fasse éventuellement sourire et qu’elle contribue à vous donner envie de me « supporter » (aux deux sens du terme) pour quelques temps encore.
Rien de totalement gratuit, c’est ce que je disais….
Au fait, ce blog, c’est d’abord un cadeau que je me suis fait à moi, l’hébergement chez OVH compris, vous l’aviez compris, je suppose. Vous avez déjà vu quelqu’un qui offrait un truc qu’il n’aimait pas (offrir)? C’est rare, hein?
PS: 2cbl.fr comme nom de domaine, pourquoi à votre avis? J’en profite pour remercier Wahbi pour sa patience et son aide..

Publié dans 50ans | 3 commentaires

Mes centres d’intérêts

Depuis mon enfance on peut dire que mes centres d’intérêts sont somme toute assez restreints:
Les médias et la télévision en particulier, les images et le cinéma, le rugby, la politique, jouer. Beaucoup de ces « attirances » peuvent s’exercer assis devant un écran plus ou moins grand, seul ou avec quelques copains, ou avec des inconnus.
L’image, les images donc ont pris une place importante dans ma vie. Je pense que je suis assez fasciné depuis très longtemps par cette impression qu’une image fixe ou animée qui capte des instants, des moments, des actions réels ou fictionnels leur donne une « autonomie » et une durée de vie indéfinie…
C’est pour cette raison que sur ce site j’ai choisi de me/vous proposer une sélection d’images de moi essentiellement. C’est étonnant comme exercice de rechercher des images de soi plus ou moins lointaines, et d’en faire une sélection pour marquer une grosse tranche de vie.
Ensuite, il y a des images de rugby, pas n’importe lesquelles, car le rugby reste un centre d’intérêt qui a balisé ma vie. Certains savent pourquoi je tenais tant à la victoire de Clermont en finale.

Bien sûr il y a le cinéma.
Le cinéma, je l’ai fréquenté assidument  lorsque adolescent je consacrais tous mes après midi et soirées de séjour de cure à Cauterets,
à voir les films qui passaient (ça changeait tous les jours) et à fréquenter avec assiduité la salle de jeux (flippers, etc…). Tout mon argent de poche économisé durant l’année y passait durant ces trois semaines.
J’ai même réussi à  faire entrer le cinéma en partie dans mon travail, et je m’efforce de promouvoir notre cinéma municipal: http://aucinema.leognan.info/

Jouer, j’ai toujours beaucoup aimé ça. Mais j’ai aussi très vite été attiré par les jeux de société originaux, amusants. Je me suis assez vite détourné des jeux « nobles » (échecs, dames, tarot, etc..) car non seulement je n’y excellais pas, mais je n’y trouvais que peu d’intérêt et peu de plaisir. J’ai très vite détesté ces jeux du type « trivial poursuit » ou dans un groupe, on peut se sentir très intelligent ou très peu cultivé suivant les partenaires de jeu. Plus que les jeux coopératifs, j’aime encore plus les jeux qui nous donnent du plaisir quand on perd, ou quand on observe les stratégies des autres pour gagner, je pense bien sûr au « Loup Garou ».
Bref mes rencontres avec des pratiques de jeux plus « alternatives » ou conviviales ont été au fil des dernières années des moments importants (rencontre avec une ludothécaire, un étudiant chercheur en « jeux », etc….). Sans compter, plus près dans le temps et dans l’espace, les soirées jeux de la cafétéria de l’Espace culturel Georges Brassens de Léognan.

Enfin, sans vraiment l’avoir voulu, ces dernières années je me suis retrouvé propulsé dans la vie associative de ma commune. J’y ai apporté mes qualités, certainement pas celle d’organisateur de fêtes!Mais j’y ai rencontré de vrai spécialistes, et j’ai fini par apprécier plus la fréquentation de ces personnes que je rencontrais que les activités associatives en elle même. Je pense aux amis de Léognan Peralta bien sûr. Mais je pense aussi à d’autres personnes, qui donnent de leur temps, pour d’autres.
Je n’ai pas parlé de politique car c’est sûrement le domaine où j’ai découvert le plus de vilaines choses sur la nature humaine. Je reviendrai sûrement quand même sur un ou deux évènements que je lierai avec mon histoire personnelle ou en lien avec l’histoire du rugby
(cf vidéo et…)

Avec tout ça, si je veux donner un sens à un rencontre avec quelques uns d’entre vous, si je veux prendre du plaisir avant même de chercher à en donner, il me faut donc écouter ces attraits, observer cette histoire et ces rencontres dans ma ville et en faire quelque chose de simple et sympathique. Et si vous avez pris la peine de lire les messages dans le bon sens, vous pouvez peut être deviner quels vont être les ingrédients de la soirée que je veux (ne peux) partager (qu’)avec quelques uns.

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L’appel du 18 juin!

Je ne sais pas si ceux qui ont reçu mon courriel avaient noté ce clin d’oeil, alors j’en profite pour le grossir avec le titre de cet article.
Le mois de septembre est chargé.
le WE qui suit le 2, des amis vont justement traditionnellement à Peralta  et en ramèneront des munitions. Le WE suivant, c’est le forum des associations. Il restait le 18 de libre. Je vérifie si je pourrai avoir un coin pour nous réunir après la visite de mes trois guest stars (à confirmer).
Le coin en question et l’activité prévue ne permettront pas d’accueillir trop de monde. Mince alors ça va être encore plus compliqué que prévu. Le maire de Léognan ou Domenech qui préparent leur liste, c’est du pipeau à côté….
Tant pis, je fais au mieux et j’envoie ce premier appel, trois mois exactement avant la date et l’heure fatidique (en gros entre le 18 à 22h et le 19 à 02h)
Le voilà:

Message du 18/06/10 23:25
De : "christophe bedou" 
A : undisclosed-recipients:;
Objet : Dans trois mois.....

 Dans trois mois, jour pour jour, heure pour heure, si tout va bien,
il se peut que vous soyez avec moi si vous en avez l'envie et la possibilité...
D'ici là, pour commencer, veuillez noter que je pourrai à l'avenir
vous écrire avec l'adresse suivante pour tout ce qui concernera 
cette journée/soirée là:
50ans.bedouch@free.fr
D'ici là, ce sera l'occasion pour moi de partager et d'échanger
 des réflexions sur des sujets variés....
Cordialement
Christophe
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